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Ceci n'est pas une ***iPod 🪬 Cast***


في عصر قديم، عاشَتْ أسطورة موسى وشهيرة الشهيرة، الجميلة والأنيقة. لم تكن حياته مجرد قصة عادية، بل كانت كالحكايات الساحرة التي تجذب القلوب والعقول. ولد لهما ابن، سماه موسى، كما ورد في السجلات القديمة. ولكن هل كانت نهاية القصة؟ لا، بالطبع لا. لأن في عالم الخيال والحكايات، كل شيء ممكن، حتى السحر والمفاجآت الغير متوقعة. فلنتابع القصة ونرى ما الذي يخبئه المستقبل لموسى ولسعيه إلى السعادة في عالم سحري وخيالي

¡We🔥Come!

⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎ X ⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎

****Sync 🪬 Studio****

*** *** Y *** ***

Click the image for a quick introduction.

Иван Иваныч


В селе, где все друг друга знали,
Где реже шум, чем в речной шали,
Жил человек — Иван Иваныч,
Любитель шуток, не суетных задач.

Однажды к нему купец забрел,
С зубной бедой, что терпеть не мог.
— Ты помоги мне, братец родной,
Зуб мой болит — хоть волком вой!

✨🦷✨


Иван Иваныч, морща лоб,
Сказал: — Есть доктор, зуб он сбьет!
Но вот беда, хоть ум ломай,
Фамилию вспомнить, хоть сам помирай.

— Она про лошадь! Точно, коня!
С этим доктором встретишь счастье, друзья!
— Ну, вспомни же, брат! — купец закричал.
Но Иваныч, смеясь, лишь плечами качал.

✨😁✨


Пошел купец по всему селу,
Лошадь искал и врачу хвалу.
То в аптеку, то в трактир,
Но везде получал лишь пустой эфир.

— Может, Рыжков? А может, Копытин?
— Нет, не то, голова вся в мытарствах избита.
А доктор есть, Я точно знаю,
Фамилию вспомнить лишь не хватает!

Сосед хохочет, другим рассказывает,
Весь город от смеха по лавкам качается.
А купец ходит в недоуменье:
— Шутка ли это, или ученье?

✨😁✨


И только когда уж вечер настал,
Иван Иваныч к купцу заскочал.
— Вспомнил Я, брат! — и смеется в лицо.
— Лошадинец! Вот доктор, его ремесло!

Купец замер, потом заревел:
— Да зуб мой прошел, хоть смейся до дел!
Иван же хохочет, трясет головой:
— Смех лечит лучше, чем доктор порой!

✨😁✨


Иван Иваныч — тот, кто шутить любил,
Но мир для других веселее делил.
Он мог бы молчать, но суть в нем одна:
Добавить в рутину смешка семена.
И пусть через абсурд, но в этом был толк —
Он в скуке любой находил добрый звон.

La Légende de l’Ordinateur Pirate : Introduction


Un jour gris de novembre, la famille Julien emménagea dans une maison ancienne pleine de mystères. Parmi les meubles oubliés, dans la chambre de Lune, leur fille rêveuse de 12 ans, se trouvait un vieil ordinateur. Mais ce n'était pas un ordinateur ordinaire : sur sa coque délavée, un autocollant de bateau pirate semblait raconter des histoires perdues.

Quand Lune l’alluma pour la première fois, l’écran s’illumina de lettres vertes sur fond noir, comme si elles voguaient sur un océan infini.
— Papa, c’est quoi cet ordinateur bizarre ? — demanda Lune avec des étoiles dans les yeux.
— Ah, ma chérie, ce n’est pas qu’un simple ordinateur, — répondit Julien, programmeur de profession et conteur dans l’âme. — C’est un navire pirate, un vrai, rempli d’énigmes, de trésors et de monstres. Chaque dossier est une maison, chaque fichier, un habitant. Moi, dans ma vie de marin numérique, je navigue dans ces mers tous les jours !

Dès lors, chaque soir devint une aventure. En rentrant du travail, Julien proclamait en entrant :
— Me voilà ! Ce soir, le spectacle s’intitule : « Le village des secrets : Rencontre avec ls et cd ! »

Mais avant de raconter ses histoires, Maria, la mère, le rappelait à l’ordre :
— D’abord le dîner ! Les aventures peuvent attendre, les frites, elles, non !

Ainsi, autour de la table, la famille discutait de la journée, savourait leurs plats préférés et se préparait pour une nouvelle exploration du mystérieux ordinateur. Après le dîner, Maria s’installait avec un livre pour lire à Lune, tandis que Julien et sa fille partaient ensemble explorer l’océan numérique.

Première Épisode : Au Pays des Habitants du Dossier

Le Dîner


Ce soir, sur la table, il y avait des frites croustillantes, des nuggets de poulet dorés et une salade fraîche.
— Madame, vous êtes la reine des fourneaux ! — annonça Julien avec un grand sourire.
— Et toi, monsieur, le roi des contes ! Mais le dîner d'abord, tes histoires après, — répondit Maria en riant.

Lune, impatiente, demanda :
— Papa, ils ressemblent à quoi, les habitants du dossier ?
— Chut, d'abord on mange, ensuite il te montrera, — interrompit Maria avec un clin d'œil.

La Lecture


Après le repas, Maria ouvrit un livre pour Lune. Ce soir, c'était « La Paix chez les bêtes » de Colette.
— De quoi ça parle ? — demanda Julien.
— D’animaux qui cherchent à vivre en paix malgré leurs différences, — répondit Maria.
— Ah ! Ça ressemble aux habitants d’un dossier : chacun a sa place, mais il faut de l’ordre pour qu’ils cohabitent ! — plaisanta Julien avant de se lever.

Le Conte : Rencontre avec ls et cd


Une fois devant l’écran noir mystérieux, Julien posa les mains sur le clavier comme un capitaine sur la barre de son navire.
— Lune, imagine une ville secrète cachée dans cet ordinateur. Les habitants y sont nombreux : certains travaillent, d’autres dorment, et d’autres encore se cachent. Mais comment les trouver ?

Il tapa :
ls

L’écran s’illumina de noms alignés.
— Voici les habitants ! Ils s’appellent « fichiers » et « dossiers ». Les dossiers, ce sont les maisons ; les fichiers, ceux qui y vivent.

Lune écarquilla les yeux :
— Et comment on entre dans une maison ?
— Simple, on demande gentiment ! Avec ceci :
cd nom_du_dossier

Il tapa :
cd Photos
ls

— Maintenant, regarde : voilà les souvenirs de leurs voyages ! Les fichiers s’appellent image1.jpg, image2.jpg… Peut-être des portraits de pirates !

Lune éclata de rire :
— Alors les dossiers sont des villages, et les fichiers, des gens ?
— Exactement ! Mais attention, certains sont des monstres déguisés… On en parlera demain !

Ce soir-là, Lune alla se coucher avec des étoiles dans les yeux, rêvant d’un monde où chaque touche de clavier ouvrait la porte à un nouvel univers.



La Légende de l’Ordinateur Pirate : Deuxième épisode

Le Dîner : Une histoire d’école et de gourmandises


Ce soir-là, la table était dressée avec soin. Des assiettes fumantes de délicieuses escargots à la bourguignonne reposaient au centre, accompagnées d’un pain frais croustillant et d’une salade verte légèrement assaisonnée.

— Alors, ma Lune, comment s’est passée ta journée à l’école ? — demanda Julien en servant un escargot à sa fille.
Lune sourit, prête à partager :
— C’était bien ! Mais Mme Dupont, notre prof de maths, m’a encore regardée comme si elle voulait me transformer en équation. Et Maxime, lui, n’a pas arrêté de bavarder… Il ressemble un peu à ce fichier bruyant de la dernière fois, celui qui cache toujours quelque chose !

Julien éclata de rire.
— Alors, Mme Dupont, c’est une gardienne de dossiers bien organisés, et Maxime serait un fichier trop curieux ? Excellent ! Et toi, où te places-tu dans ce monde ?
— Moi ? Je serais un dossier important avec un cadenas pour que personne ne vienne fouiller ! — répondit Lune en jouant avec sa fourchette.

Maria, tout en dégustant son escargot, intervint :
— Peut-être qu’aujourd’hui, le capitaine pirate pourrait nous parler d’un endroit où on range ce qu’on ne sait pas encore comment utiliser…

Julien fit un signe mystérieux.
— Ah, justement ! Ce soir, nous allons explorer un lieu très particulier : la mystérieuse forêt de /tmp !

La Lecture : Zola et les vérités humaines


Après le dîner, Maria ouvrit Germinal d’Émile Zola et partagea un peu de l’intrigue avec Lune et Julien.

— Ce soir, je lis une scène où les mineurs descendent dans la fosse avec leurs outils, — expliqua-t-elle. — C’est une descente sombre et oppressante, mais ils avancent avec courage. Leurs outils sont leur seule défense contre la roche, même s’ils peuvent se briser à tout moment.

Julien hocha la tête, pensif.
— Ça me rappelle quelque chose… Quand on travaille dans un environnement difficile, il faut toujours avoir des outils prêts à être remplacés. Mais je ne te dirai pas tout de suite pourquoi ça me fait penser à ça. Tu le devineras ce soir, dans notre mystérieuse forêt de /tmp !

Lune sourit, intriguée.
— Tu vas encore inventer une histoire incroyable, pas vrai, papa ?
— Bien sûr ! Prépare-toi : ce soir, nous entrons dans une forêt magique où tout est temporaire, mais plein de possibilités !

Le Conte : La Forêt Temporaire de /tmp


Julien et Lune s’assirent devant l’ordinateur pirate. L’écran noir s’alluma, prêt à révéler ses secrets.
— Imagine, Lune, une forêt dense et mystérieuse, pleine de branches cassées, de feuilles mortes et de petits tas de bois. C’est la forêt de /tmp.

Il tapa :
cd /tmp
ls

Une liste de noms apparut à l’écran.
— Regarde ! Ici, on dépose tout ce dont on n’a pas besoin pour longtemps : des morceaux de bois pour allumer un feu, des objets oubliés par des voyageurs, et parfois des outils abandonnés.

Lune regardait l’écran, fascinée.
— Mais pourquoi tout ça est ici ? Pourquoi ne pas jeter ce qu’on n’utilise pas ?
— Ah, très bonne question ! La forêt /tmp est là pour nous aider. Quand un programme veut essayer quelque chose rapidement, il dépose ses affaires ici. C’est comme un campement temporaire.

Julien continua, les yeux brillants :
— Mais attention, cette forêt a une règle : tout ce qui y reste trop longtemps disparaît, comme si un grand feu venait tout brûler ! Alors, il faut être rapide et astucieux.

Lune réfléchit.
— Donc c’est une poubelle magique, mais qui peut aussi être utile, c’est ça ?
— Exactement ! Et demain, on pourra découvrir ce qui se passe quand quelqu’un oublie de nettoyer sa forêt temporaire…

Lune éclata de rire, imaginant une forêt envahie par des tas de branches inutiles. Ce soir-là, elle s’endormit en rêvant de /tmp comme d’un lieu magique où chaque objet trouvait un but, même pour un instant.



La Légende de l’Ordinateur Pirate : Troisième épisode

Le Dîner : Œufs et aventure


Le dîner du soir était une fête pour les sens : des œufs brouillés à la crème, accompagnés de toasts légèrement beurrés et d’une salade de roquette. La famille Julien se retrouva autour de la table, prête à partager ses histoires.

— Alors, ma Lune, comment se passe ta journée aujourd’hui ? — demanda Julien en servant une généreuse portion d’œufs.
— C’était encore une journée pleine de surprises, papa, — répondit Lune en mâchant un toast. — Madame Dupont a encore essayé de nous faire résoudre des équations impossibles, mais je lui ai dit que c'était comme chercher des trésors dans /tmp… on ne sait jamais ce qu'on va trouver !

Julien sourit, fière de sa fille.
— Ah, tu vois, même dans /tmp, certains fichiers sont des trésors cachés, et parfois, on doit utiliser des outils spéciaux pour les trouver. Mais qu'est-ce que tu as appris de plus aujourd'hui ?

Lune leva les yeux au ciel.
— On a parlé de Rousseau en classe. Il disait qu'on devrait être plus simples, plus proches de la nature. Peut-être qu’il aurait aimé vivre dans un monde sans fichiers ni dossiers, juste avec des arbres et des ruisseaux.

Maria, qui écoutait la conversation tout en savourant ses œufs, intervint en souriant.
— Rousseau ? Ah, le grand philosophe qui pensait qu’on pouvait tout recommencer à zéro, comme un fichier qu’on copie dans un nouveau dossier…

Julien haussait les sourcils, ravi par la direction de la discussion.
— Exactement ! Mais tu sais, parfois, copier quelque chose n'est pas aussi simple qu'on le pense… Tout comme avec la commande cp !

La Lecture : Jean-Jacques Rousseau et la simplicité


Après le dîner, Maria se leva et se dirigea vers la chambre de Lune avec son livre.
— Ce soir, je continue Du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau, — dit-elle. — Il parle de la liberté, du contrat entre les individus et la société. Il croit que les hommes naissent libres, mais la société les rend esclaves.

Julien, intrigué, enchaîna :
— Ah, Rousseau… Il aurait probablement trouvé ça absurde, non ? Comme si un fichier venait au monde sans système d’exploitation pour l’organiser. Mais la société des fichiers… Elle a ses règles aussi.

Lune secoua la tête, pensant à l’idée de Rousseau.
— Donc, on est tous des fichiers dans un énorme système ? Et si on voulait revenir à la nature, papa, comment ferions-nous ?

Julien rit et secoua la tête.
— Si tout le monde abandonnait son dossier et devenait un simple fichier libre dans le vent… Eh bien, on aurait une sacrée pagaille ! Mais si tu veux, ce soir, on va copier un fichier, juste pour voir comment ça marche.

Le Conte : Copier dans la Forêt de /tmp


Julien se tourna vers l’ordinateur, les doigts prêts à danser sur le clavier.
— Lune, imagine un instant que tu trouves un fichier précieux dans /tmp. Ce fichier est fragile, tout neuf, mais tu veux t'assurer qu’il ne disparaîtra pas. Alors, tu utilises cp, pour faire une copie dans un dossier sûr, un endroit où tu pourras le retrouver plus tard.

Il tapa :
cp /tmp/fichier.txt /home/user/Documents

L’écran clignota, comme si l’ordinateur respirait.
— Voilà, Lune, ton fichier est maintenant en sécurité, tout comme les trésors que tu as trouvés. Mais attention, car si tu oublies de nettoyer /tmp, des fichiers inutiles peuvent aussi s’y perdre, comme des pièces d’un puzzle non terminé.

Lune observa l’écran, fascinée.
— Donc, avec cp, on garde les bonnes choses, et on garde le contrôle, même dans la forêt de /tmp ?
— Exactement ! Mais parfois, certaines choses doivent être laissées derrière, ou elles finiront par être effacées. C'est un peu comme dans la société de Rousseau : il faut savoir ce qu'on garde et ce qu'on abandonne.

Ce soir-là, Lune s’endormit avec des rêves de fichiers qui se dupliquaient dans des forêts magiques, protégés de l'oubli et de la confusion.



La Légende de l’Ordinateur Pirate : Quatrième épisode

Le Dîner : Borscht et apéritifs


Ce soir-là, la famille Julien savourait un dîner simple mais délicieux : un bol de borscht bien chaud, accompagné de tranches de pain frais et de quelques apéritifs légers à base de légumes marinés. L’air était un peu frais, et le parfum du borscht embaumait la pièce, apportant une chaleur réconfortante à tous.

— Alors, Lune, comment s’est passée ta journée à l’école aujourd’hui ? — demanda Julien en se servant une cuillère de soupe.
— Tout allait bien, papa ! Mais il y avait encore des débats en classe, comme toujours. Madame Dupont a posé une question difficile : comment expliquer les choses invisibles, comme l’air qu’on respire ? C’est comme… comme essayer de comprendre ce que fait l’ordinateur derrière l’écran ! — répondit Lune, toute enthousiaste.

Julien rit en imaginant la scène.
— Ah, une question pleine de mystère ! Mais tu sais, l’air invisible, tout comme les commandes informatiques, n’est pas toujours ce qu’il semble être. Et si tu voulais connecter un ordinateur à un autre, tu utiliserais quelque chose qui ne se voit pas : ssh.

Lune haussait les sourcils.
ssh ? Ça ne sonne pas comme une commande magique, papa !

Julien sourit et prit une gorgée d’apéritif.
— C’est bien plus magique qu’un simple sort, ma petite aventurière. C’est comme un bateau qui t’emmène à travers l’invisible, de ton ordinateur à celui d’un autre, tout cela sans que personne ne le remarque. Mais attention, il y a un secret… un mot magique qui permet d'ouvrir la porte. Ce mot, c’est le mot de passe. Sans lui, personne ne peut entrer.

Maria, en versant un peu de vin, ajouta avec un sourire :
— Peut-être que ce soir, ssh nous emmènera dans un autre monde… celui des pirates, non ?

La Lecture : L'Île au Trésor


Après le dîner, Maria se leva, toujours avec son livre en main, et se dirigea vers la chambre de Lune.
— Ce soir, je lis L'Île au Trésor de Robert Louis Stevenson, — annonça-t-elle. — C’est l’histoire de pirates à la recherche d’un trésor caché. Et tu sais quoi, Lune ? Le capitaine Flint, lui, aurait adoré ssh, il l’aurait utilisé pour accoster sur des îles lointaines et cacher son trésor de manière secrète.

Julien sourit, les yeux pétillants de malice.
— Peut-être qu’il aurait préféré faire un saut sur un autre navire, sans être vu ni entendu, comme un vrai pirate qui utilise ssh pour se déplacer sans laisser de traces. Mais pour entrer dans ce monde secret, il faut un mot de passe. Comme la clé d'un coffre au trésor.

Lune, qui commençait à comprendre, demanda :
— Tu veux dire qu'ssh nous permet de nous rendre sur d'autres îles sans passer par la mer ? Et le mot de passe, c’est la clé du trésor ?

— Exactement, Lune. Le mot de passe, c'est la clé secrète qui nous permet d’entrer dans un autre monde, tout comme les pirates ouvrent les coffres avec des clés spéciales. Sans lui, tu restes à l'extérieur, dans l’ombre.

Le Conte : Le Voyage Secret avec SSH et le Mot de Passe


Julien se tourna vers l’ordinateur, son regard se faisant mystérieux.
— Lune, imagine que ton ordinateur est un navire pirate, et que tu veux rejoindre un autre navire sans que personne ne le sache. Tu n’as pas besoin de traverser la mer visible, ni de prendre des routes dangereuses. Tu utilises ssh, et tu connectes les deux navires comme par magie. Mais pour y arriver, il te faut la clé : ton mot de passe.

Il tapota sur le clavier, affichant un terminal noir.
ssh utilisateur@adresse_ip

L’écran demanda alors :

Password:


— Voilà ! Le mot de passe, c’est comme la clé d’une porte secrète. Si tu l’as, tu peux entrer dans un monde sûr. Mais si tu te trompes, tu restes à l’extérieur, comme un pirate perdu sans carte.

Lune observa attentivement.
— C’est donc ça, le mot magique qui nous permet de traverser ? Mais pourquoi ça doit être secret ?

Julien sourit.
— Parce que, Lune, un mot de passe est comme un secret entre amis. Si quelqu’un d’autre le connaît, il peut entrer sans permission et prendre ce qui ne lui appartient pas. C’est pour ça qu’il doit être protégé, comme un trésor caché.

Lune s’endormit ce soir-là, rêvant de pirates naviguant silencieusement entre les îles, utilisant des bateaux invisibles et des mots de passe secrets pour dérober des trésors sans être vus.



La Légende de l’Ordinateur Pirate : Cinquième épisode

Le Dîner : Plat Français avec du Porc


Le dîner ce soir-là était une délicieuse surprise : côte de porc aux pommes avec des pommes de terre rôties et des légumes frais. Le tout accompagné d’un verre de vin rouge qui apportait encore plus de chaleur à la soirée. Le parfum du porc rôti embaumait la maison, et chacun se régala de cette combinaison parfaite de saveurs.

Julien leva les yeux de son assiette et demanda à Lune :
— Et toi, Lune, comment s'est passée ta journée à l’école aujourd’hui ? Est-ce que tu as eu une nouvelle aventure ?

Lune haussait les épaules, un sourire malicieux sur les lèvres.
— Eh bien, monsieur Dupont nous a parlé des robots et des ordinateurs, mais il ne sait pas beaucoup de choses, je crois. Il disait que bientôt, tout serait automatisé, même les choses que les gens adorent faire. Comme, tu sais, les pirates qui cachent leurs trésors. Est-ce qu’un ordinateur pourrait cacher un trésor aussi ?

Julien éclata de rire.
— Bien sûr ! Et peut-être qu'il y a déjà des trésors numériques cachés quelque part. Mais il faut savoir comment chercher. Tu te souviens de notre commande magique, df -h / ?

Lune fronça les sourcils.
df -h / ? Est-ce que c’est encore un secret ?

— Pas un secret, mais une carte. Une carte du système où tout est rangé, avec tous les espaces où les trésors sont cachés. Ça nous montre combien d’espace est occupé et combien il reste. Quand tu cherches un trésor, tu dois savoir où chercher, pas seulement l’imaginer.

La Lecture : La Guerre des Mondes de H.G. Wells


Après le dîner, Maria, comme toujours, se dirigea vers la chambre de Lune avec un livre sous le bras.
— Ce soir, je vais lire La Guerre des Mondes de H.G. Wells. C’est une histoire fascinante, Lune. C’est à propos de Martiens qui envahissent la Terre dans le futur, et les humains doivent se défendre. C’est un mélange de science-fiction et de guerre, un peu comme si des pirates venus d’un autre monde essayaient de conquérir la planète.

Julien se tourna vers sa femme avec un sourire amusé.
— Les Martiens sont comme des pirates cosmiques ! Ils envahissent des mondes et volent des ressources. Peut-être qu’ils utilisent df -h / pour vérifier combien de place il leur reste pour stocker leurs trésors !

Maria rigola.
— C’est possible ! Mais dis-moi, Julien, penses-tu que ces pirates galactiques utilisent des technologies secrètes comme df -h / pour savoir où cacher leur butin sur notre planète ?

Julien, tout en se levant et se dirigeant vers l’ordinateur, répondit avec un sourire en coin :
— Probablement ! df -h / est comme un scanner du futur. Il montre tout, mais d’une manière que seuls les plus intelligents peuvent comprendre. Si tu sais comment l’utiliser, tu vois où tout est stocké, quels fichiers prennent de la place, et où il reste encore de l’espace pour d’autres trésors.

Le Conte : La Carte des Trésors Cachés avec DF


Lune était impatiente. Après avoir écouté les histoires de pirates et de Martiens, elle avait hâte de voir la magie du df -h / en action.

Julien s’assit devant l’ordinateur et tapota sur le clavier :
df -h /

L’écran montra une série de nombres et de mots. Lune regarda fixement.
— Qu’est-ce que tout ça signifie ? — demanda-t-elle.

Julien désigna une ligne sur l’écran.
— Regarde ici, Lune. C’est l’espace utilisé. df -h / nous montre exactement combien d’espace est occupé, combien il reste. C’est comme une carte des îles où les pirates cachent leurs trésors. Si tu veux savoir où ils cachent leurs objets précieux, il suffit de regarder.

Lune réfléchit.
— Alors, si un pirate galactique arrivait sur notre ordinateur, il pourrait voir tout ce qu’on a stocké ?

— Oui, mais seulement s’il sait comment lire la carte. Si tu comprends les bons signes, tu peux trouver tout ce que tu veux, ou tout ce qui prend trop de place. Tu peux même vider des espaces pour faire de la place pour de nouveaux trésors, ou de nouvelles aventures.

Julien appuya sur un autre bouton.
— Et si tu veux effacer un vieux trésor qui prend trop de place, tu utilises une autre commande, comme rm. C’est comme jeter un vieux coffre au feu. Mais fais attention, parfois, les trésors que tu crois inutiles sont en réalité des objets précieux pour d’autres pirates.

Lune sourit, imaginant des pirates de l’espace, utilisant des commandes mystérieuses pour explorer des mondes numériques cachés.

Elle s’endormit cette nuit-là, en rêvant de batailles galactiques et de trésors cachés dans les recoins secrets de l’univers informatique.




Bien sûr, voici le texte complet et révisé, entièrement en français.

La Légende de l’Ordinateur Pirate : Sixième épisode

Le Dîner : Raviolis


Ce soir-là, la famille Julien dégustait des raviolis maison avec une sauce à la tomate et à l’ail, accompagnés d'une petite salade fraîche. Le dîner était calme, mais c’était un moment privilégié pour échanger.

Julien, tout en se servant un peu plus de sauce, se tourna vers Lune :
— Alors, ma petite exploratrice, comment s'est passée ta journée aujourd’hui ? Est-ce qu’il y a eu une nouvelle aventure dans ton école ?

Lune sourit en coin.
— Aujourd’hui, on a parlé de l’amitié. Monsieur Dupont nous a demandé ce qu’on ferait si on était dans une situation où on devait aider nos amis. C’est un peu comme un équipage de pirates, tu sais, un peu comme dans tes histoires de trésors cachés !

Julien hocha la tête avec un sourire.
— Exactement ! Un équipage, c’est une équipe de pirates qui s’entraident pour accomplir une mission. Et dans le monde numérique, on a aussi des commandes qui travaillent ensemble pour nous aider. Comme la commande find ... | xargs ..., qui fonctionne un peu comme un équipage. Elle cherche des objets, et puis elle donne une mission à un autre programme pour accomplir la tâche. C’est un vrai travail d’équipe, un peu comme des pirates qui cherchent un trésor ensemble.

Lune fronça les sourcils, intriguée.
find ... | xargs ... ? Mais qu’est-ce que c’est exactement, papa ?

Julien sourit et se pencha vers elle.
— C’est une commande magique ! Avec find, tu peux chercher des trésors, ou plutôt des fichiers, dans des dossiers, des répertoires, des montagnes de données. Et quand find trouve quelque chose, il transmet cette information à xargs, qui s’occupe ensuite de l’action. C’est comme si find disait : « Voilà le trésor ! », et que xargs disait : « Parfait, je vais le prendre et le ranger dans le bon coffre ! »

La Lecture : Les Misérables de Victor Hugo


Après le dîner, Maria se leva pour prendre un livre.
— Ce soir, je vais lire Les Misérables de Victor Hugo, un livre sur la force de l’amitié et de la solidarité. Dans ce roman, les personnages sont là les uns pour les autres, à s’entraider, à lutter ensemble contre l’injustice et les difficultés de la vie.

Julien, tout en nettoyant son assiette, se tourna vers elle.
— Ah, Les Misérables… Oui, c’est un peu comme un équipage de pirates qui navigue ensemble pour surmonter tous les obstacles. Ils se soutiennent et trouvent toujours un moyen de s’entraider, même dans les pires situations. Tu sais, comme find et xargs. Ces deux-là, ils fonctionnent ensemble, ils sont une équipe.

Maria sourit.
— Oui, exactement ! La solidarité entre les personnages est comme cette collaboration entre les commandes informatiques. On a besoin des deux pour que les choses se passent bien. Sans l’un, l’autre ne pourrait pas accomplir sa mission.

Le Conte : La Quête Numérique avec Find et Xargs


Julien se tourna vers l'ordinateur.
— Maintenant, regarde bien, Lune, je vais te montrer comment find et xargs travaillent ensemble. Imagine que tu as un grand coffre rempli de fichiers, un peu comme un trésor caché. Mais il y a trop de pièces dans ce coffre et tu ne sais pas où trouver exactement ce que tu cherches.

Lune écoutait attentivement.
— D'accord, je vois. Et comment on fait pour les trouver ?

Julien tapa sur le clavier.
— Avec find, on va chercher des trésors dans ce coffre. Par exemple, si tu veux trouver tous les fichiers qui se terminent par .txt, tu peux faire ça :

find /home/pirates -name "*.txt"


Cela va chercher dans tout le coffre /home/pirates pour tous les fichiers avec l’extension .txt. Si find trouve plusieurs fichiers, il te les montre un par un. C’est comme une carte qui t’indique où sont cachés les trésors.

Lune observa l’écran.
— Et après, que fait-on avec tous ces trésors ?

Julien continua en tapant une autre commande.
— C’est là qu’intervient xargs. Imaginons que xargs est un pirate de l’équipage qui prend chaque trésor trouvé par find et décide ce qu’il faut en faire. Si tu veux déplacer tous les fichiers trouvés dans un autre endroit, tu peux dire à xargs de les déplacer en une seule fois.

Il tapa sur le clavier :
find /home/pirates -name "*.txt" | xargs mv -t /home/treasure/

— Voilà ! find a trouvé tous les fichiers .txt dans le dossier /home/pirates, et xargs les a déplacés dans le dossier /home/treasure/, comme si l’équipage transportait les trésors d’un endroit à un autre.

Lune observa, un peu confuse.
— Mais comment find peut-il trouver tous les fichiers .txt ?

Julien, tout en tapant sur le clavier, répondit avec un sourire.
— Ah, find est une commande très spéciale. C’est comme un détective qui court dans les couloirs secrets des tables de fichiers, dans une pièce cachée qu’on appelle l’administration des fichiers. C’est une chambre secrète où sont répertoriées toutes les informations sur chaque fichier de ton ordinateur. find fouille cette chambre et repère tous les fichiers qui correspondent à ce que tu cherches, comme un pirate qui découvre un trésor enfoui.

Lune réfléchit un instant.
— Ah, je vois maintenant ! Et si je veux trouver quelque chose de différent ? Comme des vidéos que je pourrais écouter pendant mes trajets en bus ?

Julien sourit, heureux qu’elle comprenne.
— Très bien, imaginons que tu veuilles chercher toutes les vidéos .mp4 sur ton ordinateur et les convertir en .mp3, pour pouvoir les écouter, comme des histoires, quand tu vas à l’école. Cela peut se faire en deux étapes. D’abord, find va chercher toutes les vidéos .mp4 dans ton répertoire. Ensuite, xargs va demander à un programme de les convertir en .mp3 et les déplacer dans un dossier spécial, comme une collection de trésors à écouter !

Julien tapa alors :
find /home/pirates -name "*.mp4" | xargs -I {} ffmpeg -i {} /home/treasure/{}.mp3

— Voilà ! find va trouver toutes les vidéos .mp4 dans ton répertoire, et xargs va appeler un programme spécial, ffmpeg, pour les convertir en fichiers audio .mp3. Ensuite, tous les fichiers .mp3 seront envoyés dans le dossier /home/treasure/, où tu pourras les écouter à ta guise.

Lune sourit en imaginant les vidéos se transformer en chansons qu’elle pourrait écouter sur le chemin de l’école.
— C’est génial, papa ! Comme ça, je peux écouter tous mes films préférés en audio pendant le trajet !

Julien acquiesça avec un sourire.
— Exactement ! find et xargs sont des alliés puissants dans la quête numérique. Ils t’aident à organiser ton monde de fichiers et à accomplir des missions complexes, tout comme un équipage de pirates unis pour une grande aventure.

Lune s’endormit ce soir-là en rêvant de pirates et de trésors numériques, où find et xargs étaient ses fidèles compagnons dans chaque quête.



La Légende de l’Ordinateur Pirate : Septième épisode - Le Noël Magique

Le Dîner : Repas de Noël Belge


Ce soir-là, la table était magnifiquement décorée, recouverte d'une nappe rouge et blanche, et une lumière douce émanait des bougies. Maria avait préparé un dîner classique belge pour célébrer Noël : des frites maison, des carbonnades flamandes (un délicieux ragoût de bœuf cuit lentement dans une bière belge) et une tarte au riz en dessert. Les arômes se mêlaient parfaitement à l’atmosphère festive de Noël.

Lune, emmitouflée dans une écharpe rouge, s’installa à table, impatiente de savoir ce que papa avait préparé comme nouvelle aventure pour cette soirée particulière.

Julien, tout en se servant des frites, se tourna vers Lune et lui demanda, avec un sourire malicieux :
— Alors, ma chère exploratrice, as-tu découvert un nouveau trésor aujourd’hui à l’école ? Quelque chose d'intéressant pour ta quête ?

Lune sourit, les yeux pétillants de curiosité.
— Aujourd'hui, on a parlé des grands bâtisseurs de l’histoire. Monsieur Dupont nous a montré des photos de la Notre-Dame de Paris et nous a raconté comment des générations ont travaillé pour la construire. C’était un vrai chef-d'œuvre ! Et maintenant, papa, tu vas me raconter une autre histoire de bâtisseurs, comme dans tes aventures avec find et xargs ?

Julien hocha la tête et posa son verre.
— Ah, très bien, mon aventurière ! Ce soir, on va parler des constructeurs numériques. Et comme Noël est une fête où l’on bâtit des ponts d’amitié, je vais te parler d'un constructeur magique, une sorte de magicien du code. Il s'appelle git.

La Lecture : Notre-Dame de Paris de Victor Hugo


Après le dîner, Maria se leva, un peu fatiguée par la journée, et s’installa confortablement dans le fauteuil de la chambre de Lune. Elle prit un livre qu’elle avait commencé récemment : Notre-Dame de Paris de Victor Hugo.
— Ce livre raconte l’histoire des grandes constructions et des personnages incroyables qui ont façonné l’histoire de Paris. C’est comme une grande aventure où chaque pierre compte pour bâtir un monument.

Julien sourit, avec un clin d’œil.
— C’est parfait ! Et tu sais, ce que j’adore dans Notre-Dame de Paris, c’est l’idée que chaque acte de construction a une signification, comme un grand projet où tous les éléments doivent être parfaitement assemblés. C’est un peu comme un projet informatique où chaque ligne de code est une brique dans l’édifice final.

Maria hocha la tête en accord.
— Oui, c’est exactement ça. Les bâtisseurs de la cathédrale travaillaient sur un plan détaillé, et chaque changement qu’ils apportaient à l’architecture était minutieusement calculé. Ça me rappelle comment, dans notre monde numérique, on apporte des modifications aux projets en ligne, un peu comme les maçons de Notre-Dame.

Le Conte : Le Bâtisseur de Code - Git


Julien se tourna alors vers Lune, un sourire mystérieux sur les lèvres.
— Maintenant, ma chère exploratrice, il est temps de comprendre comment un bâtisseur de code travaille, comme les architectes de Notre-Dame, mais dans le monde numérique. Il s’appelle git. Git est un outil magique qui permet de construire des projets pas à pas, tout en gardant une trace de chaque modification, comme un architecte qui garde une copie de tous les plans de son chantier.

Lune écoutait attentivement.
— Mais comment ça marche, papa ?

Julien tapota sur le clavier et commença à expliquer avec des gestes de ses mains, comme un maître bâtisseur qui montre ses plans.
— Imaginons que tu travailles sur un projet informatique. Tu écris du code, tu fais des ajustements, tu ajoutes des fonctionnalités. Mais à chaque fois, tu dois garder une trace de ce que tu fais, pour pouvoir revenir en arrière si quelque chose ne va pas. C’est là que git entre en scène ! Avec git, tu peux enregistrer chaque changement que tu fais, et aussi partager ces changements avec d’autres bâtisseurs.

Il commença à taper sur le clavier.
— Voici comment ça commence :
git clone https://github.com/monprojet/moncode.git

Julien expliqua :
git clone est comme un architecte magique qui prend un plan déjà existant et le copie dans ton propre atelier. C’est comme si tu cliquais sur un bouton pour cloner une partie de la cathédrale dans ta propre salle de travail. Tu as maintenant un modèle pour commencer ton travail !

Lune observa le terminal, fascinée.
— Et après ?

Julien continua.
— Ensuite, tu peux utiliser nano, un petit outil magique pour modifier ton projet, comme si tu étais un architecte qui dessine directement sur les plans. Par exemple :
nano monfichier.txt

— Avec nano, tu ouvres ton fichier et tu peux le modifier directement, comme si tu dessinais une nouvelle colonne pour ta cathédrale, ou tu ajoutais une nouvelle porte.

Lune comprenait mieux.
— Donc, git garde une trace de tous mes changements ?

Julien acquiesça, et dit avec un sourire espiègle.
— Exactement ! Une fois que tu as fait tes modifications, tu peux enregistrer ton travail en disant à git de « committer » tes changements. C’est comme si tu posais une nouvelle pierre sur la construction. Tu dis à git : « Voilà, cette partie de la cathédrale est terminée ! »
git commit -a -m "Ajout de la porte magique"

— Et après avoir fait tout ça, tu peux partager ton travail avec d’autres bâtisseurs, ou pousser tes changements pour qu’ils soient visibles par tout le monde. Comme si tu montrais ta dernière pierre posée à tous les autres architectes du monde !
git push origin main

Lune s’émerveilla.
— C’est incroyable ! Donc, git est un peu comme un magicien qui construit une cathédrale en gardant une trace de chaque brique, et qui permet aux autres de voir ce que tu as fait ?

Julien hocha la tête.
— Oui, exactement ! Chaque fois que tu utilises git, tu fais partie de l’équipe qui construit un grand monument. Et comme dans Notre-Dame de Paris, chaque brique compte, chaque modification fait avancer le projet, et chaque bâtisseur peut voir le travail des autres pour s’assurer que tout est bien fait.

Lune se coucha ce soir-là, pleine de rêves de cathédrales magiques et de bâtisseurs numériques, imaginant des lignes de code comme des pierres précieuses qui formaient des monuments fantastiques dans le monde virtuel.