في عصر قديم، عاشَتْ أسطورة موسى وشهيرة الشهيرة، الجميلة والأنيقة. لم تكن حياته مجرد قصة عادية، بل كانت كالحكايات الساحرة التي تجذب القلوب والعقول. ولد لهما ابن، سماه موسى، كما ورد في السجلات القديمة. ولكن هل كانت نهاية القصة؟ لا، بالطبع لا. لأن في عالم الخيال والحكايات، كل شيء ممكن، حتى السحر والمفاجآت الغير متوقعة. فلنتابع القصة ونرى ما الذي يخبئه المستقبل لموسى ولسعيه إلى السعادة في عالم سحري وخيالي
¡We🔥Come!
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А.П. Чехов. Человек в футляре.
Dans un coin perdu de la Russie glacée,
Vivait Belikov, âme bien encadrée.
Chaque pensée dans un cercle tracée,
Chaque geste par des règles embrassé.
Un jour, vint à lui Varinka légère,
Sa voix comme un chant, sa démarche claire.
Elle portait la vie, la lumière, l’audace,
Là où lui portait un masque de glace.
L’attente de Varinka
Belikov (monologue intérieur, en ajustant sa canne)
"Cinq minutes d’avance, c’est ma règle d’or,
L’exactitude vaut mieux que tous les trésors.
Mais pourquoi être en retard ? C’est impardonnable !
J’espère qu’elle saura rester raisonnable."
Varinka (appel téléphonique, joyeuse)
"Trois minutes de retard, pas une de plus,
Un petit imprévu, oh rien de très grave, hélas !
J’ai sauvé une fleur tombée dans une flaque,
Mon cœur ne peut laisser un tel naufrage opaque."
Belikov (en soupirant, mais calme)
"Une fleur, dites-vous ? Quel motif étrange !
La ponctualité, voilà ce qui arrange."
Salutations au café
Varinka (arrivant en riant, foulard coloré, bras ouverts)
"Belikov, quel plaisir ! Toujours si élégant !
Votre chapeau, votre canne, un style si imposant."
Belikov (légèrement raide, inclinant la tête)
"Mademoiselle, votre entrée est remarquée,
Mais votre retard est un fait à noter."
Varinka (en plaisantant avec le serveur)
"Bonsoir, cher monsieur, auriez-vous des places
Pour nous installer avec vue sur vos terrasses ?"
Serveur (souriant)
"Prenez ce coin, près de la lumière,
Un endroit parfait pour deux caractères si contraires."
L’attente de la commande
Belikov (assis droit, regardant autour de lui)
"Ils tardent à venir prendre notre commande,
Un service lent me plonge dans l’amende.
On dirait un examen, j’attends avec soin,
Que tout soit réglé d’un geste précis, enfin."
Varinka (souriant, regardant la carte)
"Mais Belikov, pourquoi perdre une seconde ?
Parlons, rêvons, ce temps est une onde.
Et si je demandais un plat original ?
Un cocktail sucré, quelque chose d’animal ?"
Serveur (approchant, carnet en main)
"Alors, que désirez-vous ? Que puis-je vous offrir ?"
Belikov (d’une voix solennelle)
"Un thé noir, sans sucre, et une assiette de pain,
Simple, efficace, rien de trop, c’est bien."
Varinka (jouant avec les mots)
"Moi, je veux une surprise, quelque chose de fou !
Qu’avez-vous d’étrange ? Une soupe avec des clous ?"
Serveur (en riant)
"Non, mais nous avons des cocktails exotiques,
Et une salade qui semble presque magique."
Varinka
"Parfait, je prends ça ! Et rajoutez des couleurs,
Quelque chose qui reflète la joie dans nos cœurs."
Les toasts
Belikov (levant son verre de thé)
"Un toast à notre rencontre, ici et maintenant,
Que chaque instant reste poli et charmant."
Varinka (avec un cocktail multicolore)
"Je lève mon verre à l’amour et à la vie,
À tout ce qui est fou, et surtout interdit !"
Conversation avec les voisins
Belikov (se tournant lentement vers une table voisine)
"Bonsoir, monsieur, excusez cette intrusion,
Mais votre journal semble être une belle distraction."
Varinka (se levant spontanément)
"Salut tout le monde ! Que racontez-vous ce soir ?
Des secrets, des histoires, ou des rêves de gloire ?"
Pause toilettes
Belikov (se levant avec précaution)
"Excusez-moi un instant, je vais revenir vite,
Les besoins naturels sont une chose explicite."
Varinka (se tournant vers les autres avec malice)
"Ah, notre cher Belikov, si méthodique,
Je parie qu’il marche même là-bas en musique !"
Discussion sur "La Dame au petit chien"
Belikov (posant sa tasse avec gravité)
"Une œuvre de Tchekhov, un grand classique,
Qui montre la morale sous une forme artistique.
Gourov rencontre Anna, dans une scène si belle,
Et leur amour interdit reste éternel."
Varinka (jouant avec son verre)
"Anna et Gourov, dans leurs gestes timides,
Cachent leur passion sous des airs candides.
Mais je vous dis, la vraie star, c’est le chien,
Petit et discret, mais si malin !"
Peu à peu, le café s’efface, et le lecteur se retrouve dans la ville de Yalta, où Anna promène son chien chaque matin.
Anna (réfléchissant, regardant la mer)
"Chaque jour je marche, cherchant l’apaisement,
Mais je crains pour ma réputation, évidemment."
Gourov (approchant avec charme, caressant le chien)
"Ce chien, chère dame, est d’une grande sagesse,
Il semble garder vos secrets avec tendresse."
Anna
"Vous aimez les chiens ? Quelle belle surprise,
Ils sont comme nous, remplis de douces brises."
Gourov
"Je l’aime, ce chien, il est comme un miroir,
Il reflète l’amour qu’on cache dans le noir."
Conclusion : Sur Tchekhov
L’auteur observe, entre ombre et lumière,
Ces âmes perdues dans la vie ordinaire.
Médecin des corps, poète des cœurs,
Tchekhov voyait dans la douleur une lueur.
"Chaque village, chaque coin de Russie,
Lui offrait des récits, des fragments de vie.
Et dans ces portraits, simples et subtils,
Il montrait le monde, beau et fragile."
Архиерей
Настоятель (важно поправляя рясу)
"Ну что, отец Симеон, всё прошло как надо?
Люд простой доволен, молитва – награда.
Звон колоколов был точен и благ,
Всё величественно, как любит наш народ."
Дьякон (с искренней улыбкой, слегка уставший)
"Да, отец Михаил, но, признаться честно,
Ваше слово в проповеди было прелестно.
Только один момент, с поклонами длинными,
Чуть не уснул я, с глазами полузакрытыми."
Настоятель (встревожено, но сдержанно)
"Симеон, ты что, забыл, где находишься?
Служба – не место, где в сон погружаешься!
Мы зовем людей к высотам духовным,
А ты, выходит, был близок к мечтам земным?"
Дьякон (шутливо, не теряя самообладания)
"Отец Михаил, не будьте суровы,
Я лишь шутил, ведь мои чувства таковы:
Слова ваши летят, как ангельский глас,
Но стоять пять часов – это тоже атлас."
Дискуссия о пастве
Настоятель (задумчиво, переходя к философии)
"А ведь прав ты, Симеон, люди разные.
Одним подавай величие, праздное,
Другие же ищут в церкви тепло,
Молитву тихую, где покой их нашёл."
Дьякон (с улыбкой)
"Верно, батюшка, всё в этом и дело.
Порой им важнее у церковного дела
Не пышность хоров и не злато свечей,
А добрый ваш взгляд, как у отца детей."
Настоятель (переходя к шутке)
"Но доброго взгляда им мало бывает,
Симеон, ведь они и на чайки кидают!
Ты помнишь, как бабушка хлеб забрала?
Для голубей, говорит, не хватило добра."
Дьякон (смеясь)
"И всё же ей можно простить тот каприз,
Она в этом видит небесный сюрприз.
Батюшка, может, и мне в следующее утро
Выдать две булки, по тайному коду?"
Завершение: Вопрос о вере и форме
Настоятель (становясь серьёзным)
"Симеон, шутишь ты ловко, не спорю,
Но вот скажи мне, откинув задор юный:
Вера наша – это форма или суть?
Как её понять, чтобы сердце вздохнуть?"
Дьякон (после паузы, задумчиво)
"Батюшка, вера – это не что, а кто.
Она живёт в душе, где тепло и светло.
Форма же – это лишь наше искусство,
Как светильник держать, чтобы горело чувство."
Настоятель (улыбаясь, кладя руку на плечо дьякона)
"Хорошо сказал, Симеон, ты молодец,
В словах твоих чувствуется сердца венец.
Но на следующей службе, будь готов:
Хор споёт так, что не заснёшь ни за что!"
La Demande en Mariage
(Inspiré de Tchekhov, en vers français)
Introduction : L’arrivée chez les Tchouboukov
Narrateur
"Dans un coin paisible, par un jour d’été,
Lomov, endimanché, bien décidé,
Avance d’un pas lourd, mais le cœur hésitant,
Cherchant à parler, le souffle haletant.
Sa mission ? Une demande bien claire :
La main de Natalia, douce et sincère."
Lomov (entrant, se courbant légèrement)
"Monsieur Tchouboukov, je vous salue,
Permettez un moment, j’ai un propos sérieux.
J’ai beaucoup réfléchi, en toute franchise,
Et c’est à vous que je confie ma surprise."
Tchouboukov (espiègle, avec un sourire en coin)
"Oh, Lomov, cher ami, quelle mine tendue !
Vous semblez prêt à livrer une grande vertu.
Est-ce un secret ? Un aveu ? Un mystère profond ?
Ou bien êtes-vous venu pour parler du bon ton ?"
Les plaisanteries s’intensifient
Lomov (retenant son calme, légèrement crispé)
"Monsieur, c’est une affaire qui me tient à cœur,
Je suis venu parler en toute grandeur.
Votre fille, Natalia, est un joyau,
Et je viens, humblement, vous demander son anneau."
Tchouboukov (riant doucement)
"Ah, je vois, un anneau, mais lequel choisir ?
Peut-être celui des cieux, pour mieux la ravir ?
Ou un cercle plus simple, d’un métal usé,
Qu’un homme comme vous pourrait offrir usagé ?"
Lomov (avec plus d’effort pour garder son calme)
"Monsieur, je respecte vos mots et vos jeux,
Mais je parle ici de sérieux vœux.
Votre humour est vif, mais ma demande sincère,
Je veux bâtir avec Natalia un avenir prospère."
Tchouboukov intensifie ses attaques
Tchouboukov (avec un sourire moqueur)
"Mais dites-moi, Lomov, vous êtes bien pressé,
Votre montre avance-t-elle ou le temps vous a-t-il blessé ?
On dirait que vous craignez un refus immédiat,
Ou bien est-ce votre santé qui vous met en débat ?"
Lomov (tentant de rester poli, mais piqué)
"Monsieur, ma montre est juste, mon esprit aussi,
Et ma santé n'est pas sujet à vos soucis.
Ma venue est sincère, et je ne vois pas,
Pourquoi vos mots jouent de moi comme d’un éclat."
Tchouboukov (riant doucement)
"Oh, mais excusez ma langue trop affûtée,
C’est qu’un père doit savoir où il est engagé.
Et puis, n’êtes-vous pas parfois sujet au malaise ?
Natalia mérite un homme qui tient bien à ses aises."
Lomov (serrant les poings sous la table)
"Mes malaises, monsieur, sont rares, mais humains,
Et je n’ai pas besoin d’un médecin de vos mains.
Mon amour pour Natalia n’est pas une question,
C’est une flamme éternelle, au-delà des raisons."
Tchouboukov insiste sur les finances
Tchouboukov (feignant l’innocence)
"Ah, l’amour, l’amour, mais qu’en est-il des moyens ?
Le bonheur, voyez-vous, demande plus que des liens.
La maison est-elle solide ? Les champs prospères ?
Ou faudra-t-il que Natalia soutienne vos affaires ?"
Lomov (la voix tremblante d’indignation)
"Monsieur, ma maison est modeste mais en ordre,
Et mes terres sont fertiles, prêtes à répondre.
Natalia vivra dans le confort et la paix,
Et je n’accepterai pas que vous doutiez de ma foi."
Tchouboukov (en haussant les épaules)
"Foi, foi, c’est bien beau, mais ce n’est pas une dette,
Et Natalia a des goûts qui ne tolèrent la pauvreté.
Savez-vous au moins comment elle aime le thé ?
Noir le matin, mais vert le soir, c’est sa clé."
Lomov (perdant son sang-froid pour un instant)
"Monsieur, cessez ces absurdités frivoles,
Je connais Natalia mieux que vos paroles.
Si elle aime le thé, je lui offrirai des champs,
Des feuilles en or, pour satisfaire ses goûts charmants !"
Tchouboukov attaque l’apparence
Tchouboukov (regardant la tenue de Lomov)
"Ah, mais regardez, ce costume un peu serré,
Il a dû voir de meilleures années.
Natalia, voyez-vous, aime les gens élégants,
Pas ceux qui paraissent sortir du siècle précédent."
Lomov (rougissant, mais répondant fermement)
"Ce costume, monsieur, est propre et honnête,
Il représente ma vie, simple mais parfaite.
Je ne suis pas un paon pour briller en parade,
Mais un homme sincère, loin de vos mascarades."
L’explosion finale de Lomov (prolongée)
Lomov (se levant brusquement, élevant la voix)
"Monsieur, assez ! Votre jeu est cruel,
Et vos piques sont comme des flèches au sel.
Dois-je répondre en rimes ou en énigmes absurdes,
Pour prouver mon amour, ou suis-je une marionnette sourde ?
Vous attendez peut-être que je trébuche, que je tombe,
Que je me perde dans vos paroles comme dans une tombe.
Mais je vous le dis, monsieur, en toute clarté,
Je ne suis pas ici pour des jeux malhonnêtes.
Natalia est mon soleil, ma lumière du jour,
Et pour elle, je garderai toujours l’humour.
Mais vous, monsieur, je vous demande une chose :
Laissez vos jeux, et bénissez cette prose.
Vous voulez rire ? Alors jouez avec moi,
Mais sachez que la demande, elle, restera ma loi.
Natalia et moi, c’est une union certaine,
Et vos défis, monsieur, glisseront sur ma peine."
Tchouboukov (éclatant d’un rire sincère, levant les bras)
"Ah, Lomov, vous êtes un lion caché sous un agneau !
C’est ce que je voulais, cette force, ce flambeau.
Je voulais voir si vous aviez du courage,
Et voilà, vous avez montré un bel ouvrage.
Natalia sera ravie, je n’en doute pas,
Allez, embrassons-nous, vous avez gagné le combat !"
Conclusion : Tchouboukov triomphe, mais Lomov reste digne
Narrateur
"Ainsi, à travers piques et jeux d’esprit,
Lomov montra la force d’un amour précis.
Tchouboukov rit, Natalia sourira,
Et leur histoire, au final, triomphera."